Les merveilles de Dieu
Les merveilles de Dieu.
« Quand je contemple le ciel, œuvre de tes mains, la lune et les étoiles que tu y as placées, je dis : qu’est-ce que l’homme, pour que tu te souviennes de lui, et le fils de l’homme, pour que tu prennes soin de lui ? » Psaumes 8/4-5
C’est ce que disait David à Dieu. Je me dis toujours que j’ai beaucoup de chance d’habiter dans une si belle région, et très certainement, vous aussi, vous dites la même chose de là où vous êtes! Ce matin, en me rendant au départ de ma marche, mon cœur fut réjoui en voyant un magnifique lever de soleil, juste entre deux montagnes, là où ça forme un « V ». C’était féérique ! Et là, j’ai repensé à cette exclamation de David.
Ce matin, Dieu n’avait pas fini de m’émerveiller par sa création. Je vis de loin une trentaine de pigeons entrain de picorer. Quand je me suis approché, ils se sont tous envolés dans un grand bruit d’ailes, et ont volé quelques secondes d’un vol majestueux au-dessus du fleuve. Quelques centaines de mètres plus loin, près d’un bouquet de jolies petites fleurs bleutées, c’est un petit lièvre qui était là, sur le bord. Il devait avoir juste quelques jours. C’est la première fois que j’en voyais un si petit !
Je poursuivis ma marche, tout en étant attentif à toutes ces belles choses qui allaient me réjouir le cœur pour la journée. Je vis comme tous les matins, ces cygnes qui se laissaient aller au fil du courant, et là, sur un tronc, dans l’eau, un héron se tenait debout, majestueux, comme s’il inspectait son domaine. Des canards, des colverts remontaient aussi le courant avec leurs petits. Des corbeaux et des pies volaient aussi au-dessus de ma tête. Il y avait aussi cette buse qui royalement, planait au-dessus de tout.
Considérant ce fleuve qui ce matin était comme de l’huile, ces oiseaux, ce lièvre, ces montagnes, ce lever de soleil, je n’ai pas pu m’empêcher de dire à Dieu : « Seigneur, que tes œuvres sont magnifiques ! »
Il y a aussi toutes ces essences qui poussent dans cette vallée, le boulot avec son beau tronc blanc, le chêne, le peuplier qui pousse tout droit, avec ses branches qui pointent vers le ciel, et qui peut ainsi plier sous le vent. Il y a même un figuier, mais je ne lui ai encore jamais vu de figue. Il y a aussi ce doux parfum du jasmin en fleur. Si on quitte le macadam, on risque de se frotter aux orties, il vaut donc mieux les éviter ! L’apôtre Paul disait vrai en s’adressant aux romains : « En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l'œil, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. » Romains 1/20
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